Soutien à la Ligue des Droits de l’Homme
DEMOCRATIE NULLE PART……..CASSEROLES PARTOUT………

Macron et les syndicats

Le peuple selon Macron
Le réforme des retraites vue par Macron
Je n’aurais pas la prétention de me prétendre journaliste politique mais il y a tout de même quelque chose que je vois pas souvent écrit dans les médias c’est que cette réforme des retraites n’est pas simplement une réforme des retraites mais une décision de réduire la dette et c’est sous la forme d’un PLFSS (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale) que Macron a décidé de l’engager (via une forme nommée : Véhicule Législatif) après avoir reçu ses ordres des organismes financiers et annoncée à Bruxelles par le biais des retraites et pas autrement. Cela rapprocherait l’âge de départ des autres pays car si certains le font pourquoi pas la France ? Et alors, quel rapport ?
D’ailleurs, qu’avons nous entendu de la part de ce président le jour même de l’usage de ce fameux 49.3 c‘est bien :
«Des risques financiers trop grands pour le pays »
Voilà ce qu’on entend comme si c’était uniquement la retraite des français.e.s qui provoquait cette hausse des taux d’intérêts (3 % à l’heure actuelle) alors que dans la rue c’est l’usure au travail, les maladies et des chiffres qui ne mentent pas :
« Il n’y a que 57 % des personnes qui passent directement de l’emploi à la retraite »
« 10 % des personnes de plus de 57 ans sont sans emploi et pas à la retraite c’est à dire au chômage ou dans le pire des cas au RSA » et dans ce cas, elles ne cotisent pas à la retraite ou à des taux très infimes ce qui implique une pension de retraite très diminuée et ce n’est pas le rallongement jusqu’à l’âge de 64 ans qui va améliorer leurs situations mais bien plutôt l’aggraver.
25% des hommes n’atteignent pas l’age de 62 ans….
1 ouvrier du bâtiment meurt tous les jours
Macron aurait pu choisir d’autres voies pour financer les retraites futures. Des personnes auraient accepté une petite augmentation de leurs prélèvements, par exemple, et surtout il fallait prendre l’argent où il est, chez les profiteurs de la crise énergétique, et chez ceux qui achètent des Picasso grâce aux milliards engrangés. Tout ce pognon de dingue qui enrichit les plus riches et qui se voient exemptés de participer à l’effort demandé à la nation toute entière mais pas eux.
Pourtant, ce financement ne représente que 0,1 % du PIB soit pas tout à fait 17 milliards d‘euros et 17 milliards d’euros, ce n’est pas si difficile à trouver à coté des sommes dépensées pour le « quoi qu’il en coûte ».
La loi est passée, à 9 voix près…. Une misère…et elle met en colère un peuple français qui se rend bien compte qu’il a été lésé tant sur le contenu (flou) que sur la forme (autoritaire).
Il va falloir engager un combat décisif contre ce gouvernement qui pense nous réduire à de simples serviteurs du capital.
« Retraite à 60 ans : Marine Le Pen corrige sa copie. » Rappel en 2022
Présidentielle : Marine Le Pen détaille son projet de réforme des retraites
La candidate à la présidentielle du RN a présenté ce jeudi 17 février les contours d’un système progressif réservant la retraite à 60 ans aux personnes entrées dans la vie active entre 17 et 20 ans, une proposition éloignée de ses précédents programmes à la présidentielle défendant une retraite à 60 ans pour tous.
C’est un sujet sur lequel la candidate se sait attendue. La dernière fois que Marine Le Pen s’est exprimée sur cette thématique, la députée du Pas-de-Calais promettait de rétablir une retraite pour tous à taux plein à partir de 60 ans. Jugée irréaliste d’un point de vue budgétaire par de nombreux observateurs, cette mesure phare avait fait grincer les dents d’une partie de ses partisans et des membres du RN aux idées économiques d’inspiration libérale.
La candidate d’extrême-droite rejette l’idée d’un possible rétropédalage et explique cette redéfinition de promesse comme une nécessité au vu de la situation budgétaire, « nous héritons de 600 milliards d’euros de dette », a expliqué la candidate du RN. Interrogé le 16 février sur les raisons de ce renoncement de cet indicateur fort dans la matinale de France Inter, le président par intérim du RN Jordan Bardella a défendu les choix faits par sa famille politique. « Ce n’est pas un revirement, nous sommes pragmatiques […] et prenons en compte la situation économique du pays », avait-il alors déclaré.
Un système progressif de départ à la retraite, « c’est simple et pourtant si révolutionnaire »
La candidate promet désormais l’instauration d’un système progressif de départ à la retraite « dès son élection. » Marine Le Pen envisage toujours une retraite à 60 ans avec 40 annuités mais plus pour tout le monde. L’âge légal de départ dépendrait de la date d’entrée dans la vie active. « Travailler plus tôt, c’est travailler plus dur et donc partir à la retraite plus tôt », a-t-elle expliqué. Les principaux bénéficiaires de ce système progressif seraient ceux qui ont commencé une carrière professionnelle entre 17 et 20 ans. Ces derniers bénéficieraient d’une retraite à taux plein à 60 ans s’ils ont cotisé quarante ans (160 trimestres). « Plus l’âge d’entrée dans l’emploi sera bas, plus le nombre de trimestres nécessaires pour bénéficier du taux plein le sera aussi », a résumé la candidate. Pour les personnes entrées dans la vie active entre 20 et 24, la candidate envisage une retraite à taux plein entre 160 et 168 trimestres de cotisation. Selon la candidate, cette réforme permettrait de stimuler l’activité des jeunes en les encourageant « à privilégier l’activité, la création de valeur à la poursuite d’études ne leur garantissant pas toujours un emploi. » Pour les personnes entrant dans la vie active à partir de 25 ans, le projet prévoit qu’ils devront cotiser au minimum 42 annuités pour bénéficier d’une retraite à taux plein sans décote.
La candidate rappelle que cette proposition de réforme des retraites occupe une place « centrale » dans son projet présidentiel. Marine Le Pen propose également plusieurs mesures pour améliorer la vie des retraités en revalorisant le minimum vieillesse à 1 000 euros par mois et en indexant les pensions sur l’inflation.
« Mes adversaires veulent encore limiter le droit à prendre une retraite digne pour financer leur mauvaise gestion »
Au coude-à-coude avec Valérie Pécresse, Marine Le Pen a critiqué l’incohérence du programme sur les retraites de la présidente de région, « ça a déjà changé trois fois ». « Pour une ‘Mozart ’de l’économie, j’ai du mal à comprendre la mélodie. » L’ancienne ministre sous la présidence de Nicolas Sarkozy fixe un départ à 65 ans. La candidate RN s’en est également prise à l’autre candidat d’extrême-droite, Éric Zemmour. L’ex-polémiste a récemment proposé un allongement de l’âge de départ à la retraite à 64 ans et a proposé lors de son meeting à Lille la possibilité d’accorder une prime annuelle sans taxe salariale ou patronale aux employés pour un montant supérieur à « trois mois de salaire net » par an. « C’est la pire des propositions, une philosophie de trader appliquée aux salariés du privé », selon Marine Le Pen. Pour la députée du Pas-de-Calais, ses deux adversaires partagent la même ambition : « Ils sont tous les deux favorables à un report de l’âge légal de la retraite ce qui signifie une augmentation du nombre d’annuité pour obtenir un taux plein, comment feront les salariés pour travailler à un âge avancé ? ».
Interrogée sur son âge de départ à la retraite dans le cadre de sa réforme, la candidate avoue ne pas s’être interrogée sur ce point. « J’ai commencé à travailler à 23 ans et quelques, ça veut dire que je partirai à la retraite à 65 ans », explique-t-elle.
Départ de Nicolas Bay, de mauvaises manières
Interrogée sur les propos de son ex-porte-parole de campagne Nicolas Bay, jugeant le Rassemblement National, « plus proche d’une secte que d’un parti mature », Marin Le Pen regrette de mauvaises manières, « La manière dont ces gens partent, ça en dit beaucoup plus sur eux que sur nous. » La candidate rappelle que depuis qu’elle a pris la présidence de son parti en 2011, son rassemblement a enregistré de nombreux ralliements : Thierry Mariani, Jean-Philippe Tanguy, Alexandre Loubet, Jean-Paul Garraud… « Ils se sont tous bien tenus avec la formation qu’ils ont quittée ou le dirigeant avec lequel ils ont combattu politiquement, parce que ce sont des gens bien et que c’était une condition qui était posée pour leur ralliement. »
47°1 le matin, 44°3 le midi, 49°3 le soir !
Même si la Constitution de la Vème République a été calquée sur la monarchie constitutionnelle anglaise, elle avait surtout, dans l’esprit des Gaullistes de 1958, des bases bonapartistes. Le prétexte officiel des législateurs de 1958 était d’arriver à un bipartisme, un grand parti de droite et un éternel parti minoritaire de gauche. Finis les gouvernements qui sautaient après un mois d’exercice sous la IVème République.
Au rôle prépondérant du gouvernement, appuyé par une majorité de « godillots », s’ajoute la mission présidentielle des relations extérieures, de la paix comme de la guerre, des crédits militaires sans discussion à l’Assemblée.
Depuis la Constitution, mise en place par le référendum de 1959, la tendance bonapartiste n’a cessé de se révéler jusqu’à ce jour avec son dernier avatar : Macro Léon.
Comme un Tsar, il règne par oukase, sans tenir compte des promesses précédentes et se montre, à ce sujet, bon disciple de Chirac qui disait : « Les promesses n’engagent que ceux qui y croient ».
Marianne a la fièvre


Cantines de Beaucaire – menus de substitution

EHPAD TARACON/BEAUCAIRE

Le Maire vient de présenter ses projets pour la ville. Pratiquement tous sont sous la maîtrise d’ouvrage du Conseil Régional, du Conseil Départemental ou de la Communauté de Communes. La Ville y participe financièrement, mais seulement pour une petite part ! Monsieur Sanchez n’a donc aucun mérite particulier, malgré ce qu’il voudrait faire croire.
Par exemple, pour les Écoles, les travaux annoncés se résument à des travaux d’entretien ou d’extension ; le projet de l’école de la Rue Nationale semble être tombé à l’eau, alors que la création d’un nouvel établissement est absolument indispensable pour répondre aux besoins d’une ville de plus de 16000 habitants ! On voudrait favoriser le développement des établissements privés que l’on ne s’y prendrait pas autrement ! De même, en ce qui concerne la revitalisation et la restructuration du Centre Ancien : Rien ! Nada ! Niente ! On attend que des immeubles s’effondrent (voir l’arceau de la Rue Camille Desmoulin) et, bien évidemment, on se défaussera sur « les autres » de toute responsabilité !Les renseignements et documents cités par Midi Libre, tout comme ceux figurant dans le tract de RPB n’étaient pas « du pipeau ».
En effet, l’emplacement choisi est bien « le Petit Bois » et le terrain attenant qui appartient à la commune : l’actuelle trésorerie, de taille modeste, n’est qu’une toute petite partie du projet.
On peut déplorer que le futur établissement ne soit pas implanté sur l’emplacement choisi primitivement : les terrains de l’ancienne gare de marchandises, face au cimetière. La Municipalité préfère y bâtir son « palais » des congrès et, ainsi sacrifier « le Petit Bois ».
D’autres possibilités pourraient être recherchées. Ainsi, après la révision prochaine du Plan de Prévention des Risques d’Inondation (PPRI), un terrain pourrait être réservé sur une zone désormais non inondable, à proximité de la ville : Saint Joseph, les Arves ou la Croix Couverte.
Alors que les besoins sont criants, il n’est pas du tout certain que le futur EHPAD ait une capacité équivalente aux deux appelés à disparaitre.
Il serait également indispensable d’envisager dans notre ville la création d’un foyer-logement pour personnes âgées autonomes, du type de La Margarido à Tarascon.
Paul Jallat