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Bien sur, le ravalement des façades tous les 10 ans est déjà prévu par la loi et à déjà fait, sur Beaucaire, l’objet de campagne d’incitations.
Ce qui est différent maintenant, c’est que Julien Sanchez, lors du Conseil municipal de février 2017, à fait inscrire la ville sur la liste préfectorale des communes pouvant faire l’objet d’une campagne de ravalement obligatoire.
Ce jeudi 21 septembre 2017 le maire de Beaucaire présentait en conseil municipal son rapport annuel sur le prix et la qualité des services publics d’eau potable.
Ainsi peut on lire qu’en 2016 on aurait utilisé 20% d’électricité en plus qu’en 2015
pour seulement pomper 2,6% d’eau en plus.
Réponse A : Le compteur d’EDF tourne trop vite?
Réponse B :Le délégataire prend les 6788 usagers pour des imbéciles?
Réponse C : Le maire a recopié le rapport du délégataire sans faire son travail de vérification avant de le présenter aux élu(e)s du conseil municipal? Accessoirement y a t il au sein de la majorité un(e) élu(e) qui soit en capacité d’analyser ce rapport ?
Réponse D : Ces chiffres démontrent l’incapacité du délégataire à respecter les termes du contrat ? Ne devrait il pas payer les pénalités prévues dans ce même contrat en cas de non respect du rendement?
Réponse E : les maires successifs de Beaucaire ne sont pas en capacité de défendre les intérêts des 6788 usagers du service de l’eau face à la multinationale qui gère le réseau d’eau potable de la ville de Beaucaire?
Les écoles de Beaucaire affichent presque toutes « Complet » pour la rentrée . L’école de Garrigues Planes est même en sureffectif… Même si, au total, tous les enfants pourront être accueillis en 2017-2018, ce ne sera pas sans mal.
Première conséquence dommageable : certains enfants ne pourront pas être scolarisés dans leur secteur, ce qui les obligera à se lever plus tôt pour que leurs parents les emmènent (en voiture, forcément : pas idéal pour l’environnement…) jusqu’à l’école qui aura encore quelques places disponibles…
Des écoles déjà trop petites
Dans la plupart des écoles, la bibliothèque a été reléguée dans un coin car on a eu besoin de la salle qui l’abritait pour un autre usage.
Dans certaines écoles, il n’y a ni salle de motricité, ni salle des maîtres ni salle pour le médecin scolaire ni salle pour les psychologues et maîtres du RASED (Réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté). Imaginez le médecin ou le psychologue recevant les enfants et/ou les parents dans un couloir, un coin du préau… et forcément sans cesse dérangés ! Continuer la lecture
D’après le maire tout va bien. La prime de présence qu’il a décidé d’appliquer pour les agents de la ville peu de temps après son élection serait efficace. Ne trouve-t-on pas sur le site de la ville ce grand moment d’autosatisfaction dont Sanchez a le secret : « La mesure a engendré une baisse de 30% de l’absentéisme de 2015 à 2016 et a parallèlement fait faire une économie de plus de 20.000€ annuels aux Beaucairois. Une mesure saluée par une grande majorité des employés de la ville que nous remercions pour leur grand sens du service public. ».
Des chiffres rapportés par une journaliste de France 3 dans une édition du 19/20 sans aucune vérification, « confirmés » par des agents complaisants et le tour est joué.
Sauf que la lecture des rapports sociaux 2013 et 2015 (rapports établis par la collectivité et présentés au comité technique) permet de douter de cette version idyllique où finalement seul l’argent et l’appât du gain motiverait les agents d’une ville de 16 000 habitants.
Qu’on en juge :
Alors que le nombre d’agents diminue de 12 % entre ces deux périodes, le nombre d’arrêt maladie explose en augmentant de 53 % !
Plus grave, sur la même période, le nombre de jours d’arrêt provoqués par un accident du travail fait un bon de 23 %.
Tous ces chiffres ne sont-ils pas le reflet d’un profond malaise chez les employés d’une collectivité où le maire, quand il n’est pas en campagne électorale, cumule aussi les fonctions d’adjoint au personnel et d’adjoint aux finances.
Dans une période où le FN prétend à un ancrage populaire et se revendique le premier parti de France chez les ouvriers (faux car le premier parti chez les ouvriers est celui des abstentionnistes) , on mesure l’imposture au regard du mépris du maire FN de Beaucaire vis à vis de ses agents qui sont en grande majorité des fonctionnaires de catégorie C.
Suite à différentes alertes signalant des problèmes au sein du personnel municipal et pour mieux comprendre la situation des employés de la ville de Beaucaire, Rose Marie Cardona, élue RPB au conseil municipal, demandait le 26 janvier 2017 à Monsieur Sanchez la communication des bilan sociaux 2013 et 2015 de la ville de Beaucaire
Le bilan social, document administratif communicable à toute personne, fait un état des lieux de la situation du personnel dans son ensemble. Il permet également :
Et dehors du cas général qui précise que tout citoyen peut avoir accès aux documents administratifs, RPB avait pris la peine de se renseigner sur la communicabilité du bilan social d’une Commune. La réponse est confirmée par de multiples avis rendus par la CADA :
L’ancien encadrement des services techniques opérationnels a disparu depuis 2014, soit mis au placard, soit parti dans d’autres collectivités.
Le Maire habite Nîmes, le premier adjoint à Vallabrègues, l’adjoint à l’agriculture et à l’environnement à Bernis. Il y a donc méconnaissance du territoire.
La mairie de Beaucaire a refusé d’adhérer au dispositif mis en place par la CCBTA pour lutter contre les incivilités (brigade de l’environnement). La police municipale est occupée à d’autres tâches, elle est peu présente en campagne. Continuer la lecture
Article du Midi Libre du 10 décembre 2016
A la suite de la récente réunion publique de la CCBTA à laquelle Rose-Marie Cardona a assisté, comme elle le fait régulièrement depuis 2008, Réagir pour Beaucaire prend position :
Lors du dernier bureau délibératif de la CCBTA, Julien Sanchez et Jean-Pierre Fuster ont refusé de voter la définition des zones d’activité de la communauté de communes.
Une de leurs demandes est d’en exclure le Centre Commercial de la Moulinelle, alors que les Milliaires et la zone Domitia en font partie. Or la CCBTA qui avait prévu de prendre à sa charge la rénovation de ce centre pour une somme estimée entre 500 et 800 000€ s’est empressée de prendre acte du refus du maire de Beaucaire et a renoncé à l’opération. Les crédits destinés à l’origine à Beaucaire iront à d’autres communes plus soucieuses du bien-être de leurs habitants, de TOUS leurs habitants !
La Moulinelle fait partie des Quartiers Prioritaires de la Ville. Rien n’a été fait pour ces quartiers de la part de la mairie : pas de mise en place des Conseils Citoyens pour savoir ce que les habitants proposent, destruction des structures existantes (Relais Jeunes, Café des Parents, foyer socio-culturel…), pas de réhabilitation de l’habitat. Continuer la lecture
Après deux ans de mandat FN, où en est la sécurité à Beaucaire ?
Davantage de caméras et de policiers municipaux. Mais les mêmes incivilités (voitures brûlées, rues envahies de poubelles …) et les mêmes délinquances : dealers vendant au vu et au su de tout le monde,
et récemment tir sur des jeunes dans la rue.
Le maire lance son anathème sur certains commerçants, mais, rappelant ses anciens arrêtés municipaux, il confond sciemment les rues et les lieux. En effet , seules les rues Nationale et Ledru Rollin situées à l’ouest de la ville étaient visées par les arrêtés de juin 2015. La rue Eugène Vigne, située à l’est, n’était pas alors concernée. Continuer la lecture
Ce devait être la réalisation phare du premier mandat de Julien Sanchez, une vitrine destinée à prouver à tous que le FN sait gérer une ville et cela commence par un retentissant fiasco sur fond de graves atteintes au code du travail, au code de l’environnement et la mise en danger d’employés municipaux lors du chantier de démolition des cabanons des anciens jardins familiaux de la ville.
Lorsque le 12 février 2016, la ville résilie les contrats qui la lient aux utilisateurs des jardins familiaux situés au lieu-dit « La ville », il s’agit de reprendre la main sur les terrains qui doivent accueillir son grand projet immobilier « Sud Canal » et faire place nette avant le démarrage du projet de construction de nouveaux logements de « qualité » destinés à attirer une population plus aisée à Beaucaire.
Sur le terrain se dresse une trentaine de cabanons, faits de bric et de broc, construits au fil du temps par les usagers des jardins.
Détruire ces cabanons, souvent recouverts par des tôles d’amiante-ciment, ne devait pas poser de problèmes particuliers mais la ville décide de se passer des services, normalement obligatoires, d’une société spécialisée dans le désamiantage et lance, le 24 mars 2016, les engins de chantiers à l’assaut des cabanons de la parcelle AH 12… et de leurs tôles d’amiante-ciment.