Luc Perrin

Luc-Perrin-RPB54 ans
Ancien exploitant agricole, aujourd’hui informaticien dans l’agro-alimentaire

Né en 1959 à Nîmes, j’ai toujours vécu au Mas saint Paul ou mes parents produisaient des fruits, des céréales et des légumes sur 60 hectares.

Après un début d’études scientifiques et une période en Allemagne où je rencontrais Heidrun, ma compagne, j’ai rejoint l’exploitation familiale. «Ecolo» depuis toujours et convaincu de la nécessité de vivre de façon solidaire, j’ai activement participé au système coopératif agricole et souhaité garder une exploitation agricole à taille humaine pour préserver une relation forte avec la nature.

C’est aussi pendant cette période que j’ai mené, avec un groupe de citoyens décidés et soutenus par une grande partie de la population, une lutte mémorable contre un projet de création de décharge de déchets toxiques à Cante Perdrix. Des liens durables se sont tissés et c’est là que j’ai pris goût à l’action politique.

Après plus de 20 ans passés dans l’agriculture, la passion et le plaisir diminuant, j’ai décidé de changer radicalement de métier. Je suis retourné à l’école puis ai démarré une nouvelle vie dans l’informatique. Cela m’a pris 10 ans, de missions d’intérim en contrats en CDD, pour atteindre l’objectif que je m’étais fixé : je suis, depuis 3 ans, informaticien dans une multinationale de l’agro-alimentaire.

Entre temps je n’ai pas perdu mon envie d’engagement pour le bien de tous. Je travaille dans des associations de représentants de parents d’élèves et assure aussi des mandats de représentant du personnel dans mon entreprise.

Depuis longtemps je rêve de pouvoir apporter mon engagement et mes convictions au service de ma ville. Il y a tant à faire pour rendre Beaucaire plus chaleureuse et plus solidaire avec ses habitants ! 

Alors, quand l’occasion se présente : je fonce.

Christiane Rott

Christiane-Rott-RPBNée à Strasbourg, 55 ans, deux enfants
Ancienne chargée de communication reconvertie
Elue de gauche au conseil municipal

Originaire de Strasbourg, j’ai travaillé dans une maison d’édition en Allemagne, puis en Alsace dans le théâtre et pendant 15 ans comme chargée de la communication et du marketing au Palais des Congrès de Strasbourg. Je suis donc naturellement bilingue allemand, anglais par goût pour les langues étrangères et tout simplement pour l’Autre.

Installée à Beaucaire dans le centre ancien depuis 2001, je me suis impliquée, dès mon arrivée, dans la vie quotidienne et ai été parmi les fondateurs de l’association ARCA (associations des résidents du centre ancien). En 2008, mon parcours a pris une dimension politique avec mon élection comme conseillère municipale de gauche.

Je souhaite bâtir un vrai projet de développement du centre-ville, ambitieux, courageux, pour donner un nouvel essor à Beaucaire tant en termes de qualité de vie que d’image véhiculée à l’extérieur, insuffler une nouvelle dynamique commerciale et touristique à cet espace délaissé depuis des décennies par les élus passés et actuels.

Après un récent parcours dans l’import-export, je travaille aujourd’hui pour le Ministère de la culture et de la communication.

Mickaël Manon

Mickael-Manon-RPB31 ans, marié, 3 enfants
Technicien, agent de maîtrise dans l’ industrie agroalimentaire

Natif d’ Avignon et marié à une beaucairoise c’est en 2004 que je suis arrivé dans la commune.

Issu d’un milieu ouvrier je me suis engagé en politique en militant au parti socialiste depuis plusieurs années.Voulant m’impliquer davantage dans la vie communale, et mettre en oeuvre les valeurs et les idées que je défends notamment de faire de la politique au seul service de la collectivité, de manière totalement désinteressée, sans favoritisme ni clientélisme ; j’ai après une période d’observation adhéré à l’association Réagir pour Beaucaire en 2009.

Le travail sérieux et rigoureux sur les dossiers municipaux pendant toutes ces années constitue désormais une alternative crédible à gauche lors des prochaines élections.

C’est donc tout naturellement et dans la continuité de ma démarche que je m ‘engage dans le collectif qui donnera naissance à la future liste de Réagir pour Beaucaire en 2014.

Communiqué de presse

Refuser d’entendre le désarroi et la détresse des employés de Moncigale avant le début du Conseil municipal du 10 avril dernier constitue un intolérable déni de démocratie de la part de M. Bourbousson. Après avoir dit tout et n’importe quoi sur la situation du groupe, parlant d’un retrait de l’actionnaire principal Belvédère, plastronnant en s’affichant comme le sauveur du groupe et de la totalité des emplois sur le site de Beaucaire, il fuit aujourd’hui le débat public, préférant les conversations feutrées et polies dans l’enceinte de son bureau de l’Hôtel de ville.

La situation dramatique que doivent supporter les salariés de Moncigale nécessite une mobilisation de tous les instants des responsables politiques, quels que soient leur niveau et leur étiquette, afin de constituer un front commun contre les dérives d’un capitalisme mondialisé et destructeur.

Réagir Pour Beaucaire met en garde toutes celles et ceux qui dans un passé proche défendaient une conception libérale de l’économie et qui tentent aujourd’hui de récupérer la colère légitime de salariés plongés dans l’angoisse.

Reagir Pour Beaucaire à la manifestation pour Moncigale

Maryse Savajano

Maryse-Savajano-RPBNée à Beaucaire en 1956, issue d’une grande famille (8 enfants) et d’un milieu ouvrier
A travaillé 18 ans aux Olivades (impression sur tissu), actuellement en recherche d’emploi

Je me suis impliquée dans la vie de Beaucaire à l’occasion de l’élection de la reine en 1973, c’est là que j’ai rencontré MM. Gardiol et Figuiere qui m’ont initiée aux fêtes et traditions taurines. Puis j’ai intégré un groupe folklorique, « l’Escolo dou rose », et me suis impliquée dans un club taurin dont je suis toujours membre.
En 1995 je me suis présentée aux élections municipales, j’ai fait 2 mandats en tant que conseillère municipale, un avec Bernard Deschamps, l’autre avec André Michelozzi.
Installée en centre ville depuis de nombreuses années, je constate que, malgré les nouvelles municipalités, les problèmes restent les mêmes : incivilités, mauvais état des rues et désertion des commerces.

Francis Foussard

Francis-Foussard-RPB42 ans, marié, trois enfants
Hydraulicien (prévention des inondations) au Conseil Général du Gard
Militant socialiste, secrétaire de l’association Réagir Pour Beaucaire (RPB), secrétaire de l’Association des Résidents du Quartier de la Rue Nationale (AQRN), membre de l’Association  des Parents d’Elèves Indépendants (APEI) de l’école Condamines.

Plusieurs expériences humanitaires à l’étranger dans la première partie de ma carrière m’ont fait prendre conscience que ce qui manquait le plus aux populations des pays en voie de développement c’était l’accès aux services publics de base tels que l’éducation, l’eau ou la gestion des déchets. C’est donc cette prise de conscience qui m’a dirigé naturellement vers l’exercice de mes compétences au sein des collectivités territoriales avec comme leitmotiv la défense au quotidien des services public locaux au bénéfice de la population.

De là est né aussi mon engagement politique qui a débuté par ma participation à la liste «Réagir Pour Beaucaire» conduite par Georges Cornillon lors de la campagne des municipales de 2008 à Beaucaire, ville où j’habite depuis 2007.

Président de l’association Réagir Pour Beaucaire qui aide les élus d’opposition de gauche à préparer les conseil municipaux pendant plusieurs années, j’ai appris à connaître la ville, ses habitants, et la façon dont elle était gérée. Conscient de ses faiblesses, pauvreté, clientélisme, racisme, etc., mais aussi de ses forces, situation géographique, patrimoine, jeunesse, etc., la recherche d’un projet qui nous permette de vivre et d’inventer ensemble le Beaucaire de demain est une aventure passionnante que je partage au quotidien avec le collectif citoyen de Réagir Pour Beaucaire.

En charge du dossier sécurité, prévention de la délinquance et politique de la ville j’espère que les suffrage nous donnerons l’opportunité de pouvoir replacer l’humain au cœur du dispositif en réorientant notamment les missions des policiers municipaux vers le travail de proximité. Ceci pour en finir avec le «tout technologique» froid et paradoxalement aveugle, fait de caméras et de vidéo-verbalisation.

Marie-France Labbe-Amiard

Marie-France-Labbe-Amiard64 ans
Enseignante à la retraite

Née en 1949, à Paris, dans le quartier populaire de Belleville, j’y ai vu vivre, côte à côte, dans une bonne entente, des gens venus de tous les horizons : de toutes les provinces de France et de nombreux pays du monde. Pendant mon enfance, j’ai donc constaté que l’entraide et la tolérance étaient la base d’une vie sociale harmonieuse.

C’est cet art du «vivre ensemble» que j’ai été heureuse de retrouver en m’installant à Beaucaire en 1978 mais que les municipalités de 1983 à nos jours n’ont pas su ( ou pas voulu… ?) entretenir. J’aimerais participer à son renouveau.

Ma famille, peu aisée, m’a appris le goût de l’étude et le respect de l’école publique qui permet à chacun de trouver sa place dans la société. J’ai enseigné au Collège Elsa Triolet le français, le latin et le grec pendant plus de 30 ans, militant pour que les enfants de cette «zone d’éducation prioritaire» puissent aussi avoir accès aux études classiques que l’administration aurait bien voulu réserver aux «élites»…

Pendant plusieurs années, je me suis battue aux côtés des parents d’élèves beaucairois pour la construction «en dur» du Collège Elsa Triolet et nous avons fini par l’obtenir alors que nombreux étaient ceux qui prétendaient notre victoire impossible : preuve qu’il ne faut jamais renoncer.

Maintenant que je suis à la retraite, j’assiste aux Conseils des Ecoles de la Condamine, de la Moulinelle et de Puech Cabrier pour garantir aux enfants des écoles publiques de qualité.Mariée à Francis Labbe, qui a perdu la vue, je m’implique activement à ses côtés dans la vie associative en faveur des Handicapés, de leur accès à la vie sociale et culturelle, et aussi pour la défense des Droits de l’Homme.

Je suis également attachée à la Laïcité et à la défense de la Loi de 1905 de Séparation des Eglises et de l’Etat, la seule capable d’empêcher les tensions entre communautés en maintenant l’égalité et la neutralité républicaines.

Stéphane Linossier

Stéphane Linossier Réagir Pour BeaucaireInstallé à Beaucaire en 2005, 43 ans, deux enfants, marié
Professeur de mathématiques à Arles depuis 2004 après avoir travaillé dans le Nord de la France et en Afrique de l’Ouest

Présent sur la liste de gauche conduite par Georges Cornillon, je milite au sein de Réagir Pour Beaucaire depuis sa création afin de soutenir les élus de gauche au conseil municipal. Parallèlement à cela, je participe aux actions sur le terrain du Front de Gauche sans être encarté.

Je me suis intéressé très tôt au dossier de l’eau à Beaucaire, aidé en cela par mon père, Paul Linossier, expert auprès de l’UFC Que choisir. Un dossier emblématique à Beaucaire qui montre l’absence de contrôle sur l’activité de Veolia depuis plusieurs décennies et sur lequel tous les candidats aux municipales devront se prononcer.

Une longue enquête auprès de tous les acteurs de la filière de collecte et de traitement des ordures ménagères m’a sensibilisé à la complexité d’un dossier prioritaire pour la prochaine majorité.

Amateur de courses camarguaises, de ses moments de bravoure aux murmures de l’effroi, je reconnais la richesse et la complexité de la culture camarguaise dans le berceau de la course libre.

Diplômé d’un DEA de mathématiques et informatique, j’ai pu mesurer au cours de ma formation universitaire tout l’intérêt des logiciels libres et gratuits et milite avec plus ou moins de succès au déploiement de ces outils au sein de l’Education Nationale.

Lecteur assidu du Canard Enchainé dont j’apprécie l’impertinence et l’indépendance, amateur de littérature, d’histoire et de bandes dessinées, j’ai été saisi par la qualité et la force du témoignage de M. Boyer, maire de Beaucaire de 1959 à 1983, dans un livre qui constitue son témoignage politique. Son implication totale et désintéressée constitue un modèle d’engagement pour l’intérêt général. Retrouver cet esprit à Beaucaire est une nécessité et une urgence.

Gérard Abizanda

Gerard-Abidanza-RPBNé à Beaucaire il y a 58 ans, j’y ai presque toujours vécu et travaillé.

Après une formation de technicien, plusieurs emplois salariés, une création d’entreprise, j’ai laissé libre cours à mes passions, ma famille et les arts plastiques.

Mon implication dans le milieu associatif beaucairois (association de parents d’élèves, associations de défense de l’environnement,… ) m’ont conduit à mener des combats légitimes pour le bien-être de la communauté et de mon prochain (lutte contre la décharge d’ordures de Cante Perdrix, implantation de Saria, contre la centrale à gaz de Poweo…).

Ma sensibilité pour l’écologie, pour le don de soi, n’ont pas effacé la création plastique puisque j’ai travaillé dans ce domaine auprès des tout-petits dans les écoles primaires de la ville et avec l’hôpital d’Uzès. Depuis plus de vingt ans, je m’efforce de communiquer ma passion au sein de l’atelier d’arts plastiques Art et Matière.

Catherine Pohu

Catherine Pohu Réagir Pour Beaucaire

 

58 ans

Après 20 ans de commerce, je suis actuellement employée à l’Abbaye de Montmajour d’Arles.
Pour avoir participé activement à la création de la soupe chaude des SDF de Tarascon, et participé à l’accueil des familles de prisonniers à la maison d’arrêt de Tarascon, je vous propose mon aide dans le service social que Claude Dubois et Réagir Pour Beaucaire veulent développer.

Georges Cornillon

Georges Cornillon Réagir Pour BeaucaireNé en Arles dans une famille de 5 enfants, 73 ans
Mère au foyer, père électricien. Beaucairois depuis 1963
Marié, 2 enfants

J’ai travaillé durant 30 ans dans l’entreprise familiale Bonicoli S.A., comme chauffeur, puis comme chef de carrières à Montfrin. A la vente des «Sablières du Gardon», je reste directeur technique pour l’entreprise Callet Frères, puis pour le groupe Garon, premier carrier de France, ensuite pour le groupe européen REDLAND qui me licenciera pour refus de diminution de salaire.

J’ouvre un magasin de sport à l’enseigne Trigano Sport jusqu’à ma retraite il y a 12 ans.

J’ai joué au football jusqu’à 29 ans, puis j’ai été arbitre de football au niveau fédéral jusqu’en 1985.

Ensuite j’ai pris la présidence de la Commission des jeunes au Stade beaucairois, puis celle du Stade beaucairois 30 jusqu’à ce jour (3 saisons).

J’ai rempli 2 mandats d’élu d’opposition. En 2008, lors des élections municipales, je me présente comme candidat de gauche, tête de liste. Fondateur de Réagir Pour Beaucaire, je soutiens le Collectif de Réagir Pour Beaucaire en mars pour remporter enfin un combat de longue date !