Brèves

Le PS à beaucaire

La rumeur va bon train à Beaucaire selon laquelle le PS ferait liste commune avec M. Bourbousson au motif de faire un hypothétique barrage au FN dès le premier tour. Nous rappelons que des proches du FN sont dans l’actuelle majorité et que le FN a appelé officiellement à voter Bourbousson en 2008.
La consigne officielle du bureau départemental du PS est claire : une seule liste à gauche à Beaucaire ! Les militants PS qui travaillent avec RPB depuis des années peuvent donc être rassurés. Ils n’ont pas été sacrifiés sur l’autel de nauséabonds calculs politiciens.

Faire le jacques

Cette vieille expression française nous revient à l’esprit lors de chaque  intervention publique de l’actuel maire de Beaucaire.
Cette expression prend alors tout son sens (un vrai régal) : un galimatias* parvient à nos oreilles, fait d’approximations, d’amalgames, de borborygmes, de bric et de broc, voire d’injures à l’encontre de ses interlocuteurs. Il tient lieu de discours.
C’est sa seule parade pour masquer ses graves lacunes : faire le Jacques en espérant que ça passe.

* Galimatias : discours embrouillé et confus, qui semble dire quelque chose et ne dit rien (source : dictionnaire de l’Académie française).

Jacques a dit

Les perles de notre Maire en Conseil municipal, extraits choisis

  • Conseil municipal : le Jacques fait du Audiard
    M. le maire lui fait remarquer :

Je n’ai plus besoin que tu me parles avec tes yeux renfrognés… !

  • Amitiés : le Jacques ne cache pas ses sentiments !
    M. le maire répond :

Tu es laid, comme Mireille, de l’intérieur. Tu es laid de l’intérieur.

  • Traits de caractère : le Jacques est un grand modeste !
    M. le maire répond :

Je fais vivre 200 familles depuis 35 ans.

  • Commissariat : retenez le Jacques ou il va faire un malheur !
    M. le maire répond :

Ensuite, tu m’as connu plus virulent mais ce n’est pas encore fini. Après si on n’a pas un papier écrit sur la pérennité du commissariat, nous allons aller y coucher. »

  • Centre-ville : une belle réussite du Jacques !
    M. le maire déclare :

En trois petites années, nous avons réussi à limiter l’hémorragie du commerce en centre-ville avec à ce jour un bilan positif.

  • Sécurité : le Jacques est un grand optimiste !
    M. le maire déclare :

Je ne vais pas entamer un débat sur la délinquance, mais je peux assurer l’efficacité de la vidéo pour la drogue.

  • Sentiments : le Jacques n’oubliera jamais ses amis de 30 ans !
    M. le maire répond :

Alors, vous me faites vomir. […] Mireille Cellier, Jean-Marie André, vous me faites vomir.

  • Conseil municipal : le Jacques réinvente Pagnol !
    M. Jean-Marie André s’exclame :

Tu es un salaud, tu es un salaud, un vulgaire salaud.

M. le maire répond :

Toi aussi, parce ce que tu m’as dit des choses à moi.

 

Dans l’ordre, citations extraites des Conseils municipaux du 21/01/09 – 13/04/10 – 22/10/10 – 28/04/10 – 21/09/11 – 16/12/08 – 22/02/10 et 13/04/10

 

Municipalité : 30 ans du même clan

Municipalité : 30 ans du même clan

En 2014, il faudra choisir ceux qui gèreront la ville jusqu’en 2020.
Comment parvenir à incarner le changement et la rupture alors que ce sont les mêmes qui, depuis maintenant 30 ans, aspirent à devenir Calife à la place du Calife ? C’est la prouesse que devront réaliser les Bourbousson, André-fils, Arèse, Abric qui tenteront pas tous les moyens de faire oublier un passé lourd à assumer.

État des lieux sur 30 ans de vie politique beaucairoise :

  • 1975 : Jacques Bourbousson présente une liste de droite. C’est l’échec.
  • 1983 : Élection de Jean-Marie André et Mireille Cellier.
  • 1989 : Élection de Jean-Marie André, Mireille Cellier et Jacques Bourbousson qui devient adjoint de Jean-Marie André.
  • 1995 : Élection de Jean-Marie André, Mireille Cellier, Valérie Arèse.
    Jacques Bourbousson présente une liste contre son ancien allié : c’est encore un échec.
  • 1995 :  Mireille Cellier s’allie avec le FN afin de garder la présidence du Conseil régional à droite (Jacques Blanc).
  • 2002 : Élection de Jean-Marie André, Mireille Cellier, Valérie Arèse, Christophe André, Michel Abric. Le FN donne alors sa procuration à une adjointe.
  • 2003 : Jean-Marie André devient premier adjoint de Mireille Cellier.
  • 2008 : Élection de Jacques Bourbousson, candidat recommandé par le responsable cantonal et départemental du FN.
  • 2012 : Tandis que Michel Abric rejoint Bourbousson, le désamour surgit entre les deux ex-alliés Christophe André et Valérie Arèse qui ambitionnent respectivement un troisième et quatrième mandat, en tête de liste, cette fois-ci.

Ainsi, depuis plus de trois décennies, les mêmes se partagent le pouvoir, s’alliant aujourd’hui, se haïssant le lendemain.
Leur credo : « On aime notre ville »… L’amour vache alors, parce que là, depuis trente ans, ils l’ont bien amochée notre Beaucaire !

 

Sécurité : espaces publics en centre-ville

Espaces publics en centre-ville

Le retour à la confiance passe d’abord par une occupation physique et lisible du terrain, et par le maintien de services et de bâtiments publics exemplaires

La principale préoccupation en matière de sécurité concerne les réseaux de la drogue. Ces réseaux, bien que ne représentant que quelques dizaines de personnes, comprennent : les consommateurs locaux, les guetteurs (parfois de jeunes beaucairois âgés de moins de douze ans !), les dealers de rue, les commerces de couverture, les importateurs, les grossistes, etc.

Or, pour la prospérité de leur activité, ils ont besoin d’espaces publics peu fréquentés par la population et négligés par les autorités. De fait, les incivilités et les atteintes à la tranquillité publique qu’ils commettent ne sont pas gratuites. Il s’agit plutôt d’une stratégie visant à « occuper » la rue et à faire le « vide » autour d’eux. À ce titre, leur progression est indéniable dans le centre-ville.

La limitation des missions de la Police nationale s’est illustrée récemment à Beaucaire par une suppression du commissariat cautionnée par M. Bourbousson.

Or, face au désengagement de l’Etat, les réponses des droites locales restent les mêmes : davantage de policiers municipaux, l’armement de ces derniers, davantage de caméras, etc.

Le budget de fonctionnement de la Police municipale a ainsi augmenté de 56 % en 5 ans et d’autres concurrents à droite proposent déjà d’augmenter les effectifs de policiers municipaux de 75 %. Les enchères sont ouvertes ! Mais pour quels résultats et quel coût pour les Beaucairois ?

Ce que les droites locales ont oublié, c’est que le retour à la confiance passe d’abord par une occupation physique et lisible du terrain, et par le maintien de services et de bâtiments publics exemplaires. Or, l’on constate l’absence notoire des patrouilles pédestres, le départ progressif des services publics du centre-ville et la vétusté des façades de bâtiments communaux.

La formation d’une vraie Police municipale de proximité « à pied », la reconquête des lieux et des investissements conséquents dans le centre-ville sont des éléments du programme de RPB que nous développerons dans nos prochaines communications.

Pour en savoir plus

Consultez nos articles publiés depuis 2008 sur notre site internet sur le thème de la sécurité, et notamment ceux parus dans notre journal semestriel les 3 Singes.

Urbanisme à beaucaire : 30 ans d’anarchie et de gaspillage

30 ans d’anarchie et de gaspillage

Depuis 30 ans les André père et fils, Cellier, Arèse, Bourbousson ensemble ou séparément, gèrent cette ville et notamment l’urbanisme.

Leur approche, très simpliste, s’appuie sur deux idées :
l’observation aveugle des directives du SCOT (Schéma de cohérence territoriale) pour atteindre 20 000 habitants en 2025, ce qui se traduit par l’ouverture des terrains à l’urbanisation, coûte que coûte, comme on pouvait le lire alors dans « Beaucaire Info » ou dans leurs programmes électoraux en 2008, tout en faisant plaisir aux promoteurs, les terrains agricoles en périphérie urbanisés un jour ou l’autre, ce qui se traduit par l’étalement de la zone urbaine au sud et à l’ouest. La surface urbanisée de Beaucaire fut multipliée par 2,5 en 25 ans, générant un formidable gaspillage du foncier tout en détruisant en parallèle les possibilités d’une urbanisation future harmonieuse.

Résultat : le déclin du petit commerce du centre-ville déserté par ses habitants au profit de la périphérie, l’arrivée de nouveaux résidents à faibles revenus en centre ancien, l’absence de lien entre anciens et nouveaux Beaucairois, l’environnement massacré sous l’assaut des pelleteuses en périphérie, l’augmentation de la circulation automobile, …
Dès son arrivée en 2008, le maire actuel a voulu urbaniser 240 ha au-delà de la rocade. L’Etat l’en a dissuadé.

Notre approche : que veut-on pour les Beaucairois en termes de logements, d’environnement, de commerces, de transports, de liens, … ?
Nous vous proposons une rupture avec les pratiques en cours depuis 30 ans en vue d’une utilisation harmonieuse de l’espace urbain beaucairois par ses habitants.

Cela passe par :

  • une réelle volonté de revalorisation du centre ville et son gisement de 600 logements vacants, avec l’aménagement d’espaces de détente, la création de vide,
  • le maintien et le développement des services au public, du commerce et de l’artisanat,
  • une action forte en faveur des déplacements doux (pistes cyclables, espaces piétons),
  • l’aménagement en périphérie immédiate de nombreux jardins familiaux afin de créer une ceinture verte et de lutter contre le désoeuvrement, la précarité, la malbouffe,
  • l’arrêt de l’étalement urbain afin de protéger les terres agricoles, la densification maîtrisée des secteurs ayant perdu leur vocation agricole,
  • la limitation des déplacements quotidiens grâce à la construction d’équipements publics (écoles, lieux de rencontre, …) dans les quartiers périphériques,

Toutes ces actions concourent à ouvrir de nouvelles perspectives dans une ville sclérosée par 30 ans de gestion à court terme sans vision globale des enjeux urbanistiques et de leurs effets sur le quotidien des utilisateurs.

Editorial des 3 singes n°9 (1e semestre 2013)

Les multiples rebondissements politico-judiciaires, l’inefficacité des décisions prises tant au niveau national que local, conduisent les Français en général, les Beaucairois en particulier, à rejeter tout ce qui touche de près ou de loin à la politique.
Le maire de Beaucaire déclare régulièrement en public qu’il ne fait pas de politique, suivi de près par ses opposants de droite qui justifient leur engagement par amour pour leur ville. Balivernes !

Ces belles déclarations ne font pas oublier que ceux qui s’affrontent aujourd’hui, Valérie Arèse, Christophe André, Michel Abric, Jean-Pierre Cambi, Jacques Bourbousson, sont tous issus du même sérail. Ils ont tous appartenu aux mêmes majorités dirigées par Jean-Marie André et sont donc comptables et responsables de l’état actuel de Beaucaire.

La sécurité ? Cela fait 30 ans que ce thème est repris par la droite et l’extrême-droite beaucairoise à la veille d’élections. Les caméras
de vidéo-surveillance devaient faire des miracles. Mais qui peut croire aujourd’hui qu’elles sont efficaces pour prévenir les incivilités et la délinquance ?

L’urbanisme ? Cela fait 30 ans que le territoire est vendu aux promoteurs immobiliers et aux grandes enseignes commerciales. L’extension irréfléchie de la ville à l’ouest, poursuivie par Jacques Bourbousson avec le projet de création d’un quartier sur le site de La Tapie, est une impasse. Le centre ancien a été délaissé par les responsables politiques qui n’ont rien fait pour le rendre attractif pour les Beaucairois, loin s’en faut ! Occupons-nous des résidents actuels avant de penser à faire venir de nouveaux habitants !
En 2014, il faudra faire le bilan de 30 ans de gestion de la ville par le même clan.
En 2014, place à la Politique !
Claude Dubois

Jacques use

Une chronique d’un Conseil municipal «ordinaire»

Ce jeudi 18 juillet 2013, le Conseil municipal, entre autres sujets, prenait connaissance du rapport d’activités de la C.C.B.T.A (Communauté de Communes Beaucaire Terre d’Argence). L’opacité de son fonctionnement, l’écran de fumée autour de son budget alors que des millions d’euros sont en jeu font plus penser à une organisation clanique qu’à un service public.

Comme à l’ordinaire, l’opposition de droite, n’ayant peu ou pas étudié les dossiers traités ce soir-là, notamment le volumineux dossier du P.L.U., s’est contentée de reprendre quelques bribes de l’analyse des élus de gauche. Les Arèse, André et consorts ont du pain sur la planche s’ils veulent être crédibles sur les grands dossiers concernant l’avenir de la ville.

Monsieur le Maire affichait, encore plus que d’habitude, sa mauvaise foi et sa mauvaise volonté à répondre aux questions de l’opposition. Cette manière de conduire un Conseil illustre son mépris envers l’Opposition mais, surtout, une profonde méconnaissance des dossiers à traiter. C’est usant et pénible. Un jour, il arrive que ce comportement lasse et que la fronde éclate : entraînés par Claude Dubois, les 9 élus de l’opposition ont levé le camp au moment de voter le lamentable projet de Plan Local d’Urbanisme (P.L.U).

Le Maire, qui n’arrive plus à regrouper autour de lui sa majorité, (comment fera-t-il pour constituer une liste aux prochaines municipales ?) a dû lever la séance faute de quorum. Il faudra remettre ça dans quelques jours.

A toutes les questions posées par nos élus, aucune réponse n’est donc venue. La seule question qu’il faudrait se poser aujourd’hui est : «A quoi sert un conseil municipal à Beaucaire ? Le maire a-t-il conscience qu’il devra rendre des comptes de sa gestion tôt ou tard ?»

Supplique

« Notre maire qui êtes odieux, un conseil municipal n’est pas une sérénade donnée par la fanfare locale dans le parc de la mairie : pas besoin d’un chef d’orchestre qui joue une partition déjà écrite !

La réunion du Conseil municipal est un moment fort de la vie citoyenne où des informations doivent être données et des idées échangées. Il ne devrait pas y avoir de place pour les réflexions dignes d’une cour d’école, encore moins pour vos borborygmes ou vos silences méprisants.

Vous avez des prétentions humanistes, philanthropiques, voire philosophiques, alors, souvenez-vous que, dans une réunion ouverte au public, il y a un public qui a droit aux réponses données immédiatement et pas par écrit, plus tard (ou jamais…) au seul élu qui a posé la question !!!

Souvenez-vous que, lors d’un évènement local, d’une inauguration ou de festivités, le maire officie et invite au nom du Conseil municipal dans son entier et pas au nom de la seule majorité municipale, comme vous en avez la triste habitude : c’est nier les 27% d’élus d’opposition et les 59% de Beaucairois qui n’ont pas voté pour votre liste mais paient tout de même leurs impôts !

Attention, à force de les mépriser, ils finiront par faire des petits. »

Boudu (sauvé des eaux, là)

Lettre d’information de juin 2013

Que d’eau ! Que d’eau !

C’est la phrase que prononça le Maréchal-Président Mac-Mahon devant la crue de la Garonne en 1875.

C’est aussi la pensée qui animait les heureux spectateurs du Conseil municipal du 26 juin.

Cela nous a bien changé des Conseils plus ou moins alcoolisés au cours desquels notre Maire, Mac-Bourbouhon, en bi-actionnaire moncigalien, sauvait les Chais Beaucairois, bâtiment et matelots compris.

Non, cette fois-ci, il était question de naufrages avec victimes passées ou à venir.

Curieusement, la municipalité ne se sent pas responsable alors qu’une centaine de véhicules a pris la tasse le 18 mai près du Casino. Pourtant nous faisions remarquer que Vigicrues (service de surveillance des cours d’eau) avait annoncé, dès 21 h 44, un risque de crue ! Le Maire ne veut pas écoper, avance des explications «vaseuses» et tire des bordées sur les services préfectoraux. «C’est pas ma faute…».

Ensuite, c’est du «Maréchal-Nous Veolia !».

Nous avons eu l’impression que les élus de la majorité, comme de l’opposition de droite, attendaient, avec un respect notable, l’intervention de Claude Dubois : ils n’ont pas dû être déçus car il a été convaincant, pugnace et efficace au point de laisser dans l’embarras le représentant de la célèbre société et quasiment de le mettre en «fuite», mais ça, Veolia sait faire !

En revanche -et c’était prévisible- la majorité municipale, aussi muette sur ce dossier que son capitaine, et malgré les preuves de la malhonnêteté de Veolia, a tout de même voté l’embarquement au long cours avec cette société !!!
Le plus important n’est pas tant le choix de la galère sur laquelle vont ramer les Beaucairois, mais la facture plus ou moins salée qu’ils vont devoir continuer d’acquitter !

Quant au projet de l’aqueduc alimentant la ville de Fourques, il semble être tombé à l’eau !

D’autres sujets, moins aqueux mais parfois en eaux troubles, ont été abordés : un immeuble va être alloué à la Ligue de l’Enseignement en vue de la création d’un centre socio-culturel et cette association est chargée d’étudier la faisabilité du projet. Ici nos élus firent remarquer que cette association était à la fois juge et partie, mais cela ne sembla pas gêner M. Bourbousson.

Autre curieux dossier : presque 240.000 € versés à la société Biancone pour le gardiennage de véhicules en fourrière, suite à l’incurie des dernières municipalités. Nous laissons à l’appréciation des membres de l’ancienne majorité, si prompts à donner des leçons de bonne gestion, le soin de faire leur mea-culpa sur la façon dont ils géraient l’argent public.

Réagir pour Beaucaire, par la voix de ses élus, a, encore une fois, montré son sérieux et sa compétence dans le traitement des dossiers municipaux. Notre bateau a un excellent capitaine, un équipage hors-pair, et est prêt à voguer en pleine mer !!!

Extrême-droite et droite extrême : 30 ans ça suffit

La présence d’une liste d’extrême-droite à Beaucaire n’est pas un événement.

Depuis 30 ans, les 5 municipalités de droite et le FN n’ont jamais cessé de se faire la cour.

Jean-Marie André déclare dans les années 1990: «Ce n’est pas moi qui prends les idées du FN, c’est le FN qui reprend mes idées».

Dès 1983 figuraient sur sa liste des personnalités qui plus tard allaient se présenter aux élections locales sous la bannière FN.

En 1995, Mireille Cellier fut la première élue RPR (ancêtre de l’UMP) à trouver normal de se tourner vers le FN pour permettre à Jacques Blanc de garder la présidence du Conseil régional.

Peu avant les élections municipales de 2002, l’adjointe à l’agriculture de la municipalité André demandait par courrier au responsable local du FN de l’aider à battre la gauche.

Cette adjointe avait en Conseil municipal la procuration du FN jusqu’à ce que Georges Cornillon s’en émeuve. Christophe André et Valérie Arèse, déjà élus à l’époque, acceptaient cela sans broncher.

En 2008, les mouches changent d’ânes et c’est sur la liste de l’actuel maire de Beaucaire que se portent les faveurs du FN.

Pendant toute la campagne des municipales, le responsable cantonal de ce parti a eu droit à toutes les attentions de la part de Jacques Bourbousson, ce dernier l’invitant à tenir la buvette lors de ses réunions publiques, à partager la galette des rois…

Dans les jours qui ont précédé le premier tour de scrutin, un tract signé par les responsables cantonal et départemental du FN appelait à voter et faire voter pour le maire actuel.

L’état actuel de Beaucaire démontre chaque jour que la droite locale et son allié FN n’ont pas été à la hauteur des défis qu’ils ont eu à affronter.

La Nouvelle Star

Dans le cadre de la programmation culturelle des Estivales, M. BOURBOUSSON vous propose Jean-Luc Lahaye, Nicole Croisille, Gilbert Montagné et Chantal Goya. C’est donc sans ambiguïté un festival des jeunes talents dont nous gratifie encore une fois la Mairie. Curieusement, ces artistes-là sont semblables à nos dirigeants municipaux, depuis trente qu’on les connaît, on ne les a pas vu vieillir.

Fête des Libertés

Cette année RPB n’organisera pas sa fameuse Fête des Libertés pour cause de campagne électorale et de surcharge de travail.

Tract n°2 : 30 ans de privatisation à Beaucaire, ça suffit !

Depuis 30 ans, les élus en place ne s’estiment pas compétents pour gérer eux-mêmes les affaires de la commune.
Depuis 30 ans, ils délèguent aux entreprises privées sans exercer le moindre contrôle.
Réagir Pour Beaucaire pense le contraire et estime que la collectivité a les moyens humains et financiers pour agir.
30 ans de privatisation, ça suffit !

Consultez notre tract du mois de juin si vous ne l’avez pas reçu dans votre boîte aux lettres :

(clic sur le lien ci-dessous)

Réagir pour Beaucaire : tract sur la privatisation

Réagir pour Beaucaire 2014 : Stéphane Linossier, président du Collectif, et nos 3 élus d’opposition :  Rose-Marie Cardona, Christiane Rott et Claude Dubois

Réagir pour Beaucaire 2014 : Stéphane Linossier, président du Collectif, et nos 3 élus d’opposition : Rose-Marie Cardona, Christiane Rott et Claude Dubois

Communiqué de presse

M. Bourbousson condamne le meurtre du jeune militant d’extrême gauche dans le Midi Libre du 8/06. Nous aussi. Il rejette toute forme d’extrémisme sauf quand un parti d’extrême droite, le FN, lui apporte son soutien en 2008 par la voix de son responsable départemental.
Il essaye de faire oublier qu’il y a dans sa majorité des sympathisants FN qui tiennent les bureaux de vote au nom du FN pendant les scrutins électoraux.
Tenter de faire croire que M. Bourbousson est le rempart républicain en 2014 face à une liste FN est une imposture.