Catherine Pohu

Catherine Pohu Réagir Pour Beaucaire

 

58 ans

Après 20 ans de commerce, je suis actuellement employée à l’Abbaye de Montmajour d’Arles.
Pour avoir participé activement à la création de la soupe chaude des SDF de Tarascon, et participé à l’accueil des familles de prisonniers à la maison d’arrêt de Tarascon, je vous propose mon aide dans le service social que Claude Dubois et Réagir Pour Beaucaire veulent développer.

Georges Cornillon

Georges Cornillon Réagir Pour BeaucaireNé en Arles dans une famille de 5 enfants, 73 ans
Mère au foyer, père électricien. Beaucairois depuis 1963
Marié, 2 enfants

J’ai travaillé durant 30 ans dans l’entreprise familiale Bonicoli S.A., comme chauffeur, puis comme chef de carrières à Montfrin. A la vente des «Sablières du Gardon», je reste directeur technique pour l’entreprise Callet Frères, puis pour le groupe Garon, premier carrier de France, ensuite pour le groupe européen REDLAND qui me licenciera pour refus de diminution de salaire.

J’ouvre un magasin de sport à l’enseigne Trigano Sport jusqu’à ma retraite il y a 12 ans.

J’ai joué au football jusqu’à 29 ans, puis j’ai été arbitre de football au niveau fédéral jusqu’en 1985.

Ensuite j’ai pris la présidence de la Commission des jeunes au Stade beaucairois, puis celle du Stade beaucairois 30 jusqu’à ce jour (3 saisons).

J’ai rempli 2 mandats d’élu d’opposition. En 2008, lors des élections municipales, je me présente comme candidat de gauche, tête de liste. Fondateur de Réagir Pour Beaucaire, je soutiens le Collectif de Réagir Pour Beaucaire en mars pour remporter enfin un combat de longue date !

Evelyne Balma Natalizi

Evelyne-Natalizi-Réagir-Pour-Beaucaire

 

Mariée, 1 enfant, 2 petites-filles
Attachée territoriale en retraite

Née en 1952 à Cornillon-Confoux (13) dans une famille d’ouvriers, j’ai appris très tôt le goût de l’étude et le respect de l’école publique qui permet à chacun de trouver sa place dans la société.

Munie d’un baccalauréat « Techniques quantitatives de gestion » des années 1970, j’ai débuté ma carrière professionnelle en Préfecture des Bouches-du-Rhône dans une division chargée de la tutelle des collectivités territoriales.

De 1974 à 1982, j’ai été affectée au services des Finances du Syndicat d’Agglomération Nouvelle Ouest Provence.

En 1983, des raisons familiales m’ont conduite à Beaucaire par mutation, collectivité dans laquelle j’ai travaillé durant 29 ans au service financier jusqu’en 2012, date de mon départ à la retraite.

Patrick Bourdillon

Patrick Bourdillon Réagir Pour Beaucaire

 

 

45 ans, pacsé

J’habite Beaucaire depuis 2006. Agent hospitalier, je suis militant syndical actif. C’est de cet engagement résolument ancré à gauche qu’est née ma volonté de m’investir pour ma ville aux côtés de Réagir Pour Beaucaire. La cité est le premier lieu de démocratie, où, unis à gauche, nous mettons l’humain d’abord. « Beaucaire autrement », est entre nos mains.

Anne Moiroud

Anne-Moiroud-Réagir-Pour-Beaucaire41 ans, 1 enfant
Demandeuse d’emploi
Élue de parents d’élèves

Née en Normandie, titulaire d’une licence d’histoire, je suis partie une année en Erasmus à Athènes, j’ai vécu et travaillé pendant 15 ans en Belgique. Ma fille a la double nationalité franco-belge.
Je me suis installée à Beaucaire en 2009, mais mes parents y habitent depuis 2003. Je suis élue de parents d’élève à l’Ecole du Château.Depuis 2009, j’ai travaillé un an en CUI (contrat unique d’insertion) comme Auxiliaire de Vie Scolaire, j’ai vécu de plusieurs petits boulots. J’en ai assez de ces petits boulots, des contrats précaires, des horaires décalés non rémunérés. Allocataire du RSA, je ne cotise plus à la retraite.
Malheureusement nous sommes nombreux dans ce cas à Beaucaire, c’est pourquoi je pense être représentative d’une partie de la population beaucairoise, qui elle aussi à son mot à dire sur la politique de la ville.

J’ai rejoint Réagir pour Beaucaire car je suis de gauche, écolo, pacifiste et non raciste. Ma première manif c’était en 1986 pour protester contre l’assassinat de Malik Oussekine.

Le renouveau de la ville passe par le bien être de tous. La paupérisation de la ville est stigmatisée par ceux qui l’organisent et l’exploitent. C’est en luttant contre la précarité, qu’on relèvera la ville. Quand les salariés vivent bien, la ville vit bien : le commerce redémarre, on «  se fait un petit restau par mois en famille », on paye des impôts, on rénove sa maison, on se met à manger bio… et la ville renaît…

Michel Alivon

Michel-Alivon-RPB201460 ans

Agent de la fonction publique hospitalière aux Hôpitaux des Portes de Camargue, je suis arrivé à Beaucaire en 1980 pour exercer mon métier d’électricien à l’hôpital local.

Militant, responsable syndical et représentant du personnel dans les instances de l’établissement pendant plus d’une vingtaine d’années, je me suis préoccupé du fonctionnement du service public.

J’ai eu l’avantage de côtoyer les représentants de la municipalité Boyer, Etienne Chaulet en particulier, qui siégeaient au conseil d’administration de l’hôpital. J’ai également eu le réconfort d’avoir comme soutien, à maintes occasions, Bernard Deschamps en tant que conseiller général de notre canton.
J’ai ainsi pu faire la différence avec les municipalités de droite présentes depuis 1983 et qui ont uniquement servi une vision financière de la santé.

J’habite le quartier de Puech Cabrier où mes trois enfants ont été scolarisés à l’école maternelle et à l’école primaire.

De par mon expérience professionnelle et syndicale, en relation avec l’union locale CGT, j’ai pu mesurer les difficultés des habitants de la commune qui sont confrontés aux réalités économiques et à l’avenir incertain. Je subis ces mêmes difficultés.

Une équipe municipale de gauche peut redonner la priorité aux individus et non parader sur des podiums ou dans des média.

J’ai une passion : la moto. Ce plaisir me permet aussi d’appréhender différemment les aménagements urbains.

Depuis trente ans, la droite, avec l’extrême-droite, n’ont fait que cultiver la haine et le dénigrement systématiques pour masquer leur propre incompétence.
Le résultat de trente ans de gestion est mesurable aujoud’hui : sécurité, économie, services publics, écologie, santé !
Dans tous les domaines il y a carence réelle, alors, 30 ans après : la gauche, le retour ?

Marie Croenne

Marie Croenne Réagir Pour Beaucaire33 ans

J’ai osé…

J’ai osé aller à une réunion de Réagir Pour Beaucaire, moi qui ne suis pas politisée, moi qui vais voter juste comme ça parce que je pense être plus de gauche que de droite…

Arrivés à Beaucaire il y a 3 ans, par hasard, nous avons vu des enfants jouer dehors, les vieilles pierres de la maison nous plaisaient… Alors nous sommes restés.

Avec un enfant à l’école, on comprend très vite qu’au-delà de cette très belle ville, qui ressemble encore par moments à un village, il y a des problèmes dans les écoles (manque de moyens, travaux de rénovations jamais commencés, …). C’est ainsi je me suis investie dans une association de parents d’élèves, que l’on écoute, à priori, mais qui n’obtient jamais de réponses directes et claires. Je veux plus pour tous les enfants de Beaucaire !

Et puis, au gré des balades dans la ville et quand on est amoureux des vielles pierres, on se désole de voir des bâtiments murés, délabrés… Alors j’ai voulu comprendre pourquoi Beaucaire en était arrivée là, proche de trois grandes villes et pourtant si «isolée». Presque renfermée sur elle-même.

Pour trouver des réponses, il faut arriver à dépasser les «on-dit» et les «s’ils ne sont pas contents, les néo-Beaucairois, ils n’ont qu’à partir».

Et bien justement NON ! Moi je reste et, au lieu de continuer à râler, je préfère rejoindre ce groupe de personnes aimant réellement Beaucaire, une ville où la mixité pourrait créer de vrais trésors. Un groupe qui veut le bien de tous et non pas se faire «mousser sans rien faire». Des personnes qui ne sont pas là pour récupérer du pognon ou des passe-droits ou faire de Beaucaire une vitrine pour un parti.

Une des phrases qui me porte : «Il ne faut pas confondre l’espoir dans lequel gagne le moins mauvais et l’espoir dans lequel gagne un projet de transformation de notre réalité» (Un autre monde est possible par Keny Arkana, rappeuse française).

 

Patric Milési

Patric-Milesi-Réagir-Pour-Beaucaire

 

52 ans
Marié, 3 enfants

Beaucairois de cœur et de naissance, je travaille depuis 25 ans dans la construction et la gestion de bâtiments  publics.

Je considère qu’il est important de participer à la vie de sa ville. C’est pourquoi, dans une démarche citoyenne, j’ai le désir aujourd’hui de m’investir sur le plan local. Sans étiquette, sans clivage politique et en toute humilité, je suis prêt à offrir de mon temps et de mon expérience.

Les valeurs basiques de bon sens, d’honnêteté intellectuelle et de transparence  conduiront naturellement Beaucaire vers l’avenir radieux qu’elle mérite.

Joanne Michelutti

Joanne Michelutti Réagir Pour Beaucaire29 ans
Coordinatrice actions pédagogiques d’éducation à la citoyenneté

Gardoise d’origine, je suis engagée de longue date dans la vie de notre territoire. Chacun de nos gestes quotidiens a des répercussions sur l’emploi local : soutien à l’agriculture locale et aux producteurs (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne, création d’un groupement d’achat Solidaire et écologique) et aux commerces de proximité.

Après une formation sociale et environnementale pour le développement des territoires, je travaille pour une association dans laquelle je pilote une équipe pour mettre en œuvre des actions d’éducation à la citoyenneté. Ces actions ont pour objectifs de faire connaître et de faire aimer notre territoire, pour que chacun puisse s’impliquer en connaissance de cause sans subir des décisions portées par des personnes motivées avant tout par leur intérêt personnel et celui de leurs proches.

Nouvelle habitante de la ville de Beaucaire, j’ai souhaité m’impliquer dans la vie communale afin de participer aux décisions concernant notre cadre de vie. J’ai pour cela rejoint la liste « Réagir pour Beaucaire » dont les valeurs humanistes proposent une voie politique de gauche au service de l’intérêt général. Je soutiens Claude Dubois et sa volonté d’agir pour Beaucaire et tous ses habitants, pour leur qualité de vie et pour le lien social, sans favoritisme ni division.

Herminio Camblor

Herminio Camblor Réagir Pour Beaucaire

 

57 ans, père de 3 enfants, grand-père de 5 petits-enfants
Technico-commercial dans le bâtiment

Résident du centre ancien passionné par les sports mécaniques, musicien, amoureux des vieilles pierres, notre ville a besoin de retrouver son faste et son dynamisme d’antan avec le soutien d’une équipe soudée, rigoureuse et sérieuse investie toute entière pour changer l’image négative que véhicule Beaucaire.
Retrouvons dans cette cité ce qui a fait sa force et sa renommée : la mixité.

Martine Mouret

Martine-Mouret-Réagir-Pour-Beaucaire

 

 

Résidente dans le centre ancien de Beaucaire et impliquée depuis toujours à la fois professionnellement et moralement dans la vie associative, je souhaite oeuvrer avec l’équipe de Réagir Pour Beaucaire afin de permettre à chacun de trouver aujourd’hui à Beaucaire, une qualité de vie si longtemps mise à mal.

Daniel Garcia

Daniel-Garcia-RPB

 

63 ans
Gérant d’entreprise

J’ai effectué ma carrière professionnelle dans le bâtiment, en tant qu’artisan.

Bien connu dans le milieu sportif beaucairois (football, jeu provençal), j’ai défendu les couleurs du Stade beaucairois sur tous les terrains de la région pendant près de 25 ans depuis les catégories minimes jusqu’au poste d’entraîneur en 1987.

Ce furent pour moi des années formidables au cours desquelles de nombreux trophées, dont la coupe Gard Lozère en 1974, sont venus garnir le palmarès du Stade beaucairois.

Désormais disponible pour me mettre au service de mes concitoyens, j’ai souhaité rejoindre l’équipe de Réagir pour Beaucaire menée par Claude Dubois, celle qui me semble la plus apte à gérer notre belle ville de Beaucaire.